Le mardi 27mai 2025, face aux ravages dévastateurs des inondations dans le Tanganyika, une lumière d’humanité s’est levée. La ministre des Affaires sociales, de l’Action humanitaire et de la Solidarité nationale, Nathalie Aziza Munana, n’a pas hésité à braver la pluie, la boue et la douleur pour se rendre sur le terrain, là où la tragédie a frappé de plein fouet des familles entières.
Arrivée à Kichanga, dans la commune de Lukuga, ses yeux ont rencontré ceux de personnes brisées, dont les visages racontent des histoires de pertes irréparables : maisons englouties, souvenirs emportés par la rivière Lubuye, enfants effrayés, yeux pleins d’incertitude et d’espoir mêlés. Dans ce tableau de désolation, la ministre a laissé éclater toute la profondeur de son humanité. Elle a tendu la main à ces victimes, leur offrant plus qu’une aide matérielle : une présence sincère, un message d’amour et de solidarité qui transcende les mots.

Pour leur venir en aide concrètement, elle a apporté des secours essentiels — des sacs de nourritures, des habits, des tôles pour reconstruire leur avenir fragile, et d’autres biens de première nécessité. Elle a distribué ces ressources avec douceur, consciente que chaque petit geste peut soulager la douleur de ces familles qui ont tout perdu.

Ses gestes ont été empreints de chaleur et de détermination. Elle a écouté, consolé, rassuré. Elle a promis que leur douleur ne serait pas oubliée, que leur souffrance serait entendue et que l’aide viendrait. En distribuant ces secours, en leur apportant des paroles de réconfort, Nathalie Aziza Munana a montré que derrière la fonction publique se cache une personne profondément attachée à la dignité humaine.
Ce déplacement n’est pas seulement une visite officielle, c’est un acte d’amour. Une déclaration que, même face à la force implacable de la nature, l’humanité doit se rassembler, se soutenir, se relever.
Elle a aussi insisté sur la nécessité d’agir pour prévenir de telles tragédies à l’avenir, car derrière chaque catastrophe, il y a des vies innocentes qui méritent protection et espoir. Son engagement sincère rappelle à tous que la véritable force réside dans la compassion, dans la capacité à tendre la main quand tout semble perdu.
Dans cette région meurtrie, la présence de Nathalie Aziza Munana est devenue un symbole d’espoir : celui que, face à la douleur, l’amour et la solidarité peuvent réchauffer les cœurs, redonner confiance, et surtout, rappeler que personne ne doit être laissé pour compte, même dans les moments les plus sombres.
Arnold TSHIMANGA
























































































































































































































































































































































































































































