Franck Diongo annonce le départ de Tshisekedi… même s’il s’affiche avec Corneille Nangaa, un pantin du Rwanda qui tue ses frères depuis janvier 2025 !
Ah, Franck Diongo, le maître incontesté du bluff et du spectacle, a encore une fois décidé de faire des vagues. Selon lui, le départ de Félix Tshisekedi est « acté » et il ne reste plus qu’à attendre le dénouement avant 2028. Difficile de savoir si c’est par démission, fuite ou autre coup de théâtre, l’essentiel étant de faire parler de lui… encore et toujours.
Mais la cerise sur le gâteau ? Diongo, qui ne recule devant rien pour se donner une vitrine médiatique, s’est récemment affiché en compagnie de plusieurs figures douteuses. Parmi eux, Corneille Nangaa, le pantin du Rwanda, qui depuis janvier 2025, joue un rôle de marionnette dans un théâtre macabre : tuer ses propres frères congolais dans l’indifférence générale. Oui, vous avez bien lu. Le héros de la résistance, en train de poser avec celui qui est responsable d’un génocide silencieux, tout en clamant son amour pour la liberté. Ironie ou aveuglement ?
Et ce n’est pas tout. Diongo a aussi été vu avec d’autres personnalités peu reluisantes : Giresse Mansuele (Lamuka), Michel Mara (MRLC-A) et Batangisa Mayemba (MRC). Tous réunis pour une « coalition » qui pourrait aussi bien être une parade de clowns que des acteurs sérieux. Leur seule vraie action, jusqu’ici, semble être de faire parler d’eux en posant avec des figures qui ont plus de chapeaux que de crédibilité.
Mais au fond, qui peut croire à un héros qui traîne ses compagnons de route avec des marionnettes rwandaises tueuses de ses frères ? La seule chose qu’on peut retenir, c’est que Diongo continue à jouer la carte du spectacle pour exister. Son « départ » de Tshisekedi n’est peut-être qu’un coup de com’ pour masquer sa propre faillite politique.
Alors, Franck Diongo, continue à faire ton show. Mais n’oublie pas que, même si tu dis que le départ de Tshisekedi est « acté », ton propre avenir risque d’être celui de la ridicule parade de trop.
Et pendant ce temps, la vraie question demeure : quand est-ce que Diongo comprendra que jouer avec des marionnettes rwandaises, c’est risible… même pour un clown politique ?
Arnold TSHIMANGA



























































































































































































































































































































































































































































