Le 15 octobre 2025, le Fonds de Promotion de l’Industrie (FPI) sera au cœur d’une importante mission à Washington D.C., à l’invitation du US/UK Africa Business Council et de la George Washington University School of Business. Cette initiative de haut niveau s’inscrit dans une stratégie ambitieuse d’ouverture internationale, impulsée par le Directeur général du FPI, Hervé Claude Ntumba Batukonke.
Une diplomatie économique offensive au service du développement
Sous la conduite discrète mais efficace de M. Ntumba Batukonke, le FPI entend mobiliser de nouveaux partenaires financiers et industriels pour accompagner les projets structurants de la RDC, conformément à la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, axée sur l’industrialisation locale, la transformation des ressources et la création d’emplois durables.
Un programme riche et ciblé
Durant cette mission stratégique, le FPI prendra part à :
– Des conférences et panels thématiques sur l’investissement productif en Afrique centrale ;
– Des rencontres B2B avec des investisseurs, institutions financières et industriels internationaux ;
– La présentation des opportunités d’investissement dans les Zones Économiques Spéciales (ZES), les chaînes de valeur agro-industrielles et les énergies renouvelables ;
– La promotion des outils financiers du FPI, conçus pour soutenir efficacement investisseurs et entrepreneurs congolais.
Un leadership visionnaire au service de l’action
Hervé Claude Ntumba Batukonke incarne une génération de gestionnaires modernes, rigoureux et tournés vers l’impact. Sa démarche repose sur la transparence, la crédibilité institutionnelle et l’ouverture stratégique. À travers cette mission à Washington, il renforce l’image du FPI comme acteur central du développement économique congolais, prêt à attirer les capitaux étrangers et catalyser la transformation structurelle du pays.
« Le FPI poursuit sa mission : faire de l’industrialisation de la RDC un levier réel de croissance inclusive et de création d’emplois. » Une vision portée avec constance par un dirigeant qui préfère les résultats aux projecteurs, et dont l’action parle d’elle-même.
Arnold TSHIMANGA
