Une nouvelle lueur d’espoir pour Kinshasa. La nomination de Parfaite Bahati Mutingwa à la Régie de l’Éclairage Public de Kinshasa (REPK) marque un tournant prometteur dans la lutte pour un éclairage public digne de ce nom dans la capitale congolaise.
Dans un communiqué officiel signé ce dimanche 20 avril par le Gouverneur de la ville de Kinshasa, Daniel Bumba, Madame Parfaite Bahati Mutingwa a été nommée Directrice Générale Adjointe en charge des questions administratives et financières de la REPK. Une nomination saluée par de nombreux observateurs comme le couronnement d’un parcours politique marqué par l’engagement, la loyauté et l’ambition.
Femme de terrain et militante infatigable, Parfaite Bahati n’est pas une inconnue de la scène politique nationale. Haute cadre du parti politique ACR, cher à l’honorable Eliezer Ntambwe, elle en occupe le poste stratégique de 3e vice-présidente. Son rôle actif dans le rayonnement de ce parti et sa proximité avec son autorité morale ont forgé une réputation de femme compétente, fidèle et dévouée.
Avec un bagage intellectuel solide et une expérience avérée dans la gestion, elle incarne aujourd’hui l’expertise féminine au service de la ville. Sa nomination à la REPK intervient comme une reconnaissance de son combat de longue date pour le changement et sa volonté de toujours servir la République.
Très consciente des défis qui l’attendent, notamment dans un secteur aussi névralgique que l’éclairage public, Madame Bahati promet de ne ménager aucun effort. Elle s’est engagée à travailler en étroite collaboration avec le Directeur Général et à contribuer activement à la réussite du programme “Kinshasa ezo Bongo” porté par le gouverneur Daniel Bumba.
« La lumière, c’est la sécurité, c’est la vie, c’est la dignité pour nos concitoyens », a-t-elle confié à notre rédaction. Une promesse claire d’apporter, au-delà de la technique, une vision humaine et responsable au service de millions de Kinois.
Avec une telle femme à ce poste clé, Kinshasa peut désormais espérer éclairer ses avenues… et l’avenir.
Arnold TSHIMANGA .



































































































































