Depuis sa prise de fonctions au Palais de justice, Guillaume Ngefa Atondoko Andali, Ministre d’État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux, s’illustre par une méthode de travail marquée par la rigueur, l’écoute et une diplomatie active. Fidèle à son approche de leadership de proximité, le ministre poursuit une série de séances de travail ciblées, visant à instaurer un climat de confiance et de performance dans la gestion du secteur judiciaire.
Une diplomatie judiciaire renforcée avec la Chine
La journée de ce mercredi a débuté à 8h30 avec la réception de ZHAO Bin, Ambassadeur de la République Populaire de Chine en RDC. Au cœur des échanges : le renforcement de la coopération bilatérale dans le domaine judiciaire, un pilier important dans les relations sino-congolaises. Cette rencontre ouvre des perspectives de collaboration technique, de formation et d’appui institutionnel entre les deux États.
Transparence dans la gestion du FRIVAO
À 10h45, le comité de gestion du FRIVAO (Fonds de Réparation des Victimes de la guerre de six jours) s’est entretenu avec le Ministre d’État. Cette réunion avait pour objectif de renforcer la transparence dans la gestion des ressources allouées aux victimes de cette tragédie ayant marqué la Grande-Orientale. Guillaume Ngefa a insisté sur la nécessité d’un suivi rigoureux et d’une gestion responsable de ces fonds, dans le strict respect des droits des victimes.
Leadership interne et éthique administrative
Enfin, à 12h45, le ministre a clôturé ses audiences par une rencontre avec les membres de son cabinet, conseillers et chargés d’études. Il a rappelé l’importance de l’éthique, du professionnalisme et du code de bonne conduite dans le traitement des dossiers sensibles de l’État. Ce moment de communion interne témoigne de sa volonté de bâtir une administration judiciaire responsable, unie et orientée vers les résultats.
Un cap clairement fixé
Par cette série d’audiences stratégiques, Guillaume Ngefa Atondoko imprime progressivement sa marque : celle d’un ministre d’action, de rigueur et de dialogue. Son approche inclusive vise à moderniser la justice congolaise tout en respectant les engagements du Chef de l’État en matière de gouvernance, de droits humains et de renforcement de l’État de droit.
Arnold TSHIMANGA


































































