Du jamais-vu ! L’espoir renaît dans le monde artistique congolais grâce à l’action audacieuse et engagée de la Directrice Générale du Fonds de Promotion Culturelle (FPC), Mme Barbara Mutund Kanam. Depuis son arrivée à la tête de cette institution, la célèbre artiste devenue gestionnaire culturelle démontre qu’on peut allier vision, efficacité et passion au service de la culture.
Le jeudi 8 mai 2025, le FPC a marqué un tournant historique en organisant une cérémonie de signature de contrats avec les premiers bénéficiaires du financement de projets artistiques pour le premier semestre de l’année. Sous l’autorité directe de Mme Barbara Kanam, pas moins de 22 projets ont été officiellement soutenus financièrement dans des domaines aussi variés que la musique, la littérature, le cinéma, les arts plastiques, scéniques ou encore la cordonnerie.
Parmi les bénéficiaires : des écrivains, des cinéastes, des plasticiens et des musiciens, dont le célèbre artiste gospel Benjamin Kayombo, auteur du titre Longola Ba Anges, tous émus de voir leurs rêves devenir réalité grâce à cet appui longtemps attendu.
Un geste fort, une symbolique puissante
Le geste posé par le FPC n’est pas qu’un simple accompagnement financier. Il représente une reconnaissance institutionnelle de la valeur des talents congolais. Comme l’a souvent affirmé Mme Kanam : « Dieu leur a donné du talent, mais c’est à l’État de leur assurer un accompagnement. »
Le FPC, en tant qu’établissement public, a pour mission première de financer et promouvoir les activités culturelles et artistiques à travers toute la République. Avec Barbara Kanam à sa tête, cette mission prend un nouveau souffle. Déjà en avril 2024, elle s’était illustrée par une première série de financements, posant ainsi les bases d’un véritable renouveau culturel.
La culture comme pilier du développement
En soutenant des projets artistiques de qualité, le FPC participe à la professionnalisation du secteur, à la valorisation de la culture congolaise et à la concrétisation de la vision du Chef de l’État pour un secteur culturel dynamique, inclusif et générateur d’emplois.
Barbara Kanam ne se contente pas de gérer, elle transforme. Son engagement est la preuve qu’une artiste au parcours international peut aussi exceller dans la gestion publique et devenir une source d’espoir pour toute une génération.
Grâce à elle, les artistes ne sont plus seuls. Ils ont enfin une voix, un soutien, une alliée.
Arnold TSHIMANGA
































